De Gaulle, récit biographique, au ciné

J'ai eu un peu de difficulté à accepter Lambert Wilson en Charles de Gaulle mais j'y suis parvenue au bout d'un quart d'heure. Quand à Yvonne, elle est parfaite bien qu'Isabelle Carré soit un peu trop svelte pour l'époque. 
En juin 1940, le Maréchal Pétain veut arrêter la lutte armée contre l'Allemagne. Le Président du Conseil, et le Général de Gaulle veulent  continuer le combat mais ne sont pas entendus. L'armistice est signé. De Gaulle décide de se rendre à Londres pour chercher de l'aide du Premier Ministre, Winston Churchill et ainsi poursuivre le conflit devenu mondial. 
De son côté son épouse, Yvonne, voit l'ennemi s'avancer dangereusement et décide donc de prendre la route avec les enfants, dont Anne, la petite handicapée. En Angleterre le Général reste sans nouvelles de sa famille et s'apprête à prononcer un discours, qui va changer le cours de sa vie et de l'Histoire. C'est l'appel du 18 juin, que l'on attend depuis le début du film. 
Merci au réalisateur, Gabriel Le Bonin, qui a réussi des scènes difficiles, comme l'exode, et l'embarquement pour Londres. Avec aussi Olivier Gourmet, Andrew Bicknell (en Churchill ?), Sophie Quinton, et Catherine Mouchet.